Préface de Michel Bertrand : Le parcours exceptionnel d'un historien hispaniste
Les années de formation
Invitation au voyage
L? effet Braudel
La Vieille Castille
Jeune chercheur
Assistant
Des années particulières
Un homme trop occupé
Membre de l?Internationale des historiens
Il n? est pas de fin au voyage
Fin de parcours

Bartolomé Bennassar était un inlassable voyageur. Le temps et l'espace étaient ses horizons : la profondeur historique de l'histoire espagnole, les grandes terres de l'Amérique latine. Comme tout pérégrinant, il écrivait ses voyages, mais avec une plume double : celle de l'écriture romanesque ? l'un de ses romans a connu une adaptation au cinéma ? et celle de l'historien. Il nous livre dans ce petit ouvrage la quintessence d'un itinéraire humain et intellectuel : de la découverte de la discipline qui sera la sienne, l'histoire, à sa carrière de spécialiste attentif aux évolutions du monde hispanique, scandée au rythme de la publication d'une oeuvre historiographique importante et de sa passion de l'enseignement qui régulièrement l'emmène avec ses étudiants sur les routes des Andes.

Bartolomé Bennassar nous livre dans ce petit ouvrage la quintessence d'un itinéraire humain et intellectuel : de la découverte de la discipline qui sera la sienne, l'histoire, à sa carrière, scandée au rythme de la publication d'une ?uvre historiographique importante, de spécialiste attentif des évolutions du monde hispanique, sans oublier la passion de l'enseignement qui inlassablement l'emmène avec ses étudiants sur les routes des Andes.

Nouvelle édition avec une préface de Michel Bertrand.

« Bartolomé Bennassar, en publiant son égo-histoire, ne restitue pas seulement son parcours universitaire d'enseignant et de chercheur. Il produit un véritable témoignage, sur ce que faire de l'histoire signifie, intégré dans son temps, dans sa vie. Là se trouve l'originalité de l'ouvrage, qui concentre toutes les qualités de l'auteur : le choix de l'humilité, le regard acéré sur lui-même, sur son cheminement et sur son oeuvre. » - Nicolas Guyard, Lectures